Prince de Transylvanie, il a dirigé par 1703 un 1711, un soulèvement national hongrois contre Habsbourg Il est devenu connu comme née avec le déclenchement de Guerre de Succession d'Espagne et rendu possible grâce au soutien reçu d'autres puissances internationales ayant l'intention de se plier le pouvoir des Habsbourgs en Europe, tout d'abord la Royaume de France de Louis XIV. L'insurrection au cours des années, le Parlement hongrois a proclamer François II comme prince régent de Hongrie, mais son « règne » fut de courte durée: en 1711 les rebelles ont été écrasés par les forces supérieures des Habsbourg et l'ordre a été restauré en Hongrie . Rákóczi, en exil en Pologne, Il a continué dans les siècles suivants pour être un point important dans l'histoire hongroise et est devenu le symbole du nationalisme hongrois. Aujourd'hui encore dans les mémoires comme un « héros national », sa figure est très populaire parmi le peuple.

INDEX

· 1. biographie

o 1.1. enfance

o 1.2. La fin du soulèvement Thököly

o 1.3. Le soulèvement Rákóczi

o 1.4. L'accord de paix

o 1.5. exil

· 2. Remerciements

o 2.1. mémoriaux

o 2.2. Lieux et institutions

o 2.3. billets

o 2.4. Le Rákóczi Mars

· 3. honneurs

· 4. notes

· 5. D'autres projets

BIOGRAPHIE

enfance

Portrait de François II Rákóczi âge 8

Scion d'une famille de riches propriétaires terriens Royaume de Hongrie et l'un des comptes (vient perpetuus) de Comitatus Sarossiensis (hongrois Saros) Depuis 1694, Francis était troisième fils et dernier de François Ier Rákóczi, prince élu Transylvanie, Zrínyi Ilona et sa femme, la fille de Zrínyi Péter, Bano de Croatie, ainsi que le neveu du poète Zrínyi Miklós. son grand-père et son arrière grand-père, tous les deux appelés par le nom de George, étaient les principes de Transylvanie. Il avait un frère, George, qui est mort comme un enfant avant Francis est né, et une sœur, Julianna, qui avait quatre ans de plus que Francis. Son père est mort quand il avait seulement un mois.

Ala mort de François Ier, la veuve a demandé la protection de ses enfants, même si les conseillers de l'empereur Leopold I Ils insisté sur le fait qu'elle devait maintenir la protection de François et de sa sœur, après ce que François Ier avait établi avant sa mort. En dépit de quelques difficultés, Zrínyi a pu Ilona élever leurs enfants obtenir, cependant, que l'empereur d'assumer la garde légale. La famille vivait dans les châteaux de Munkács (aujourd'hui Mukacheve, en Ukraine) Sárospatak et Regec jusqu'à 1680, quand grand-mère paternelle de François, Sofia Báthory, est mort. Ce fut alors que toute la famille a déménagé de façon permanente au château de Munkács. Rákóczi a gardé un lien étroit avec ce lieu pour le reste de sa vie. Parmi les principaux éducateurs de son enfance, à côté de sa mère, Rákóczi avait György Kőrössy, castillan famille et János Badinyi.

François II Rákóczi

Portrait de François II Rákóczi exécuté par Tobias Kärgling

27 mars, 1676-8 Avril, 1735

Borsi, Royaume de Croatie

Tekirdağ, Empire ottoman

naturel

Cathédrale de Saint Elizabeth, Kosice, Slovaquie

données militaires

Royaume de Hongrie

rebelle armée hongroise

général

Guerre d'indépendance de Rákóczi

Bataille de Saint-Gothard (1705)

Bataille de Zsibó

Bataille de Romhany

Bataille de Trencsén

Chevalier de 'Ordre de la Toison d'Or

[citation nécessaire]

entrées militaires sur Wikipédia

manuel

La fin du soulèvement Thököly

Le second mari de Zrínyi Ilona, Imre Thököly il a peu l'éducation des jeunes Rákóczi, occupé qu'il était à l'époque dans la politique nationale hongroise avec l'organisation d'un soulèvement anti-Habsbourg. Cependant, l'échec des Turcs à la conquête de Vienne en Bataille de Vienne compromis en 1683 prévoit de devenir le souverain de Thököly 'Haute-Hongrie. Quand les Turcs ont commencé à se méfier de son comportement, Thököly a proposé d'envoyer les jeunes à Rákóczi Constantinople comme garantie de sa bonne volonté, mais la mère Rákóczi était opposé au projet, ne voulant pas se séparer de l'enfant.

En 1686, les armées de Antonio Carafa Ils assiègent la résidence de la famille, le château de Munkács. Zrínyi Ilona a réussi à garder les défenses du château pendant trois ans, mais il a été forcé de capituler en 1688. Les deux jeunes enfants Rákóczi passé à nouveau sous la tutelle de Leopold I et ils ont été transférés à Vienne avec leur mère. Ils ont repris leurs biens, mais ils ne pouvaient pas quitter la ville sans l'autorisation du personnel de l'empereur.

Àl'âge de 17 ans, l'empereur a décidé d'émanciper Rákóczi de sa mère, lui permettant d'avoir accès à des biens personnels. Sa sœur Julianna avait intercédé pour lui depuis qu'il avait épousé le puissant Ferdinand général autrichien von Aspremont-Lynden Gobert. Rákóczi a vécu avec le Aspremont jusqu'à son mariage en Septembre 1694, avec quinze princesse Amélie, l'une des filles du landgrave Charles de Hesse-Wanfried qui était aussi un descendant de Sant 'Elisabeth de Hongrie. Le couple a déménagé au château de Rákóczi en Sárospatak, où Rákóczi se consacre à la gestion de ses propriétés.

la Traité de Karlowitz 26 janvier 1699, il a forcé Thököly et Zrínyi Ilona en exil. Rákóczi est resté dans Vienne sous la supervision de l'empereur, l'accumulation d'un lourd ressentiment anti-Habsbourg en particulier lorsque les agriculteurs ont commencé Thököly un soulèvement dans la région hegyalja dans le nord-est de la Hongrie, où ils faisaient partie de la propriété de la famille Rákóczi. Ils ont capturé les châteaux de Tokaj, Sárospatak et Sátoraljaújhely, et ils ont demandé Rákóczi de devenir leur chef, mais il ne voulait pas à la tête de ce qui semblait qu'une escarmouche entre les agriculteurs et donc il a rapidement retourné à Vienne pour tenter de clarifier la majeure partie de sa position.

Rákóczi puis se lie d'amitié avec Miklós Bercsényi conte, dont la propriété Ungvár (courant Ужгород (Uzhhorod), en Ukraine), Bordée avec elle. Bercsényi était un homme de grande culture et était le troisième homme le plus riche du royaume (après Rákóczi et Simon Forgách), et était bien relié à la plupart de l'aristocratie hongroise.

Le soulèvement Rákóczi

Le même sujet en détail: Guerre d'indépendance de Rákóczi.

Depuis la Chambre des Habsbourg Il était au bord de l'extinction dans Espagne, France cherchait des alliés pour écraser une fois pour toutes l'hégémonie autrichienne en Europe. En conséquence, les Français est entré en contact avec le prince François II Rákóczi et le soutien promis à la cause de l'indépendance hongroise. Un espion autrichien a intercepté cette correspondance et portée à l'attention de l'empereur. En conséquence directe de cet acte, Rákóczi a été arrêté le 18 Avril 1700 et emprisonné dans la forteresse de Wiener Neustadt (Au sud de Vienne). Il est maintenant évident que, comme cela était arrivé dans le cas de son grand-père Péter Zrínyi, la seule peine possible pour François était à mort. Avec l'aide de sa femme Amélie, enceinte, et le commandant de la prison, Rákóczi a réussi à échapper, puis il est allé Pologne. Ici, il a rencontré Bercsényi et ensemble, ils repris contact avec le tribunal français.

Trois ans plus tard, Guerre de Succession d'Espagne Il voulait dire qu'une grande partie des forces autrichiennes dans le Royaume de Hongrie ont été appelés sur d'autres théâtres de guerre européens. Saisissant l'occasion, les forces Kuruc Ils ont commencé un nouveau soulèvement à partir de Munkács et Rákóczi a été invité à diriger. Il a décidé d'investir ses énergies dans une guerre de libération nationale, acceptant ainsi la demande. Le 15 Juin 1703 un autre groupe de 3000 hommes dirigés par Tamás Esze rejoint ses forces près de la ville polonaise de Lawoczne. Bercsényi est arrivé sur place avec 600 mercenaires polonais à la solde des Français.

Gyula Benczúr (1844-1920): la capture de François II Rákóczi au château Nagysáros (1869)

Une grande partie de la noblesse polonaise, en tout cas pas pris en charge le soulèvement Rákóczi, il considère comme rien de plus qu'un jacquerie, une rébellion paysanne. L'appel célèbre aux armes de la noblesse dans le Rákóczi Szabolcs Il a même été vain. Il a réussi à convaincre hajdús (Les agriculteurs émancipé guerriers) à se joindre à ses forces, contrôlant ainsi une grande partie de Royaume de Hongrie à l'est et au nord de la Danube à la fin Septembre de 1703. Il a continué la conquête Transdanubie peu de temps après. Étant donné que les Autrichiens se sont retrouvés combattre Rákóczi sur plusieurs fronts, ils se sentaient obligés d'entamer des négociations avec lui. Cependant, la victoire de l'Autriche et britannique contre l'armée franco-bavaroise Bataille de Blenheim 13 août 1704, a donné la coalition un avantage important non seulement dans la Guerre de Succession d'Espagne, mais aussi empêché l'union des forces Rákóczi avec Franco-Bavarois.

Statue de François II placé devant le bâtiment du Parlement hongrois

Ce fait pose Rákóczi dans une situation militaire et financière difficile. Le soutien français diminue peu à peu, et réciproquement une armée de plus en plus besoin d'occuper les terres nouvellement acquises pour consolider la domination des rebelles hongrois. Pendant ce temps, les fournitures nécessaires à l'armée de Rákóczi étaient derrière les lignes ennemies. Il a essayé de résoudre ce problème en créant un nouveau système monétaire locale à base de cuivre qui n'a pas été facilement acceptée en Hongrie, où la population était habituée à l'utilisation de pièces d'argent. Peu importe, Rákóczi a essayé de tenir jusqu'à 1706 quand ses forces ont commencé à se retirer.

Une session du régime Hongrois (composé de 6 évêques, 36 nobles et environ 1000 représentants de la noblesse inférieure de 25 comtés), a eu lieu à Szécsény (Comté Nógrád) En Septembre 1705 élu Rákóczi au rôle de « fejedelem » - prince régnant - des États confédérés du Royaume de Hongrie, assisté d'un sénat de 24 membres. Rákóczi et le Sénat ont pour tâche d'administrer l'Etat, y compris la paix convenue.

Encouragé par l'Angleterre et Pays-Bas, le 27 Octobre CONVENUS ouvert, 1705 entre les têtes Kuruc et ceux de l'empereur. Une série d'opérations militaires, cependant, a continué sur les deux fronts. Le 13 Décembre guidée par les forces János Bottyán Kuruc battu les Autrichiens à Szentgotthárd. L'un des obstacles était représenté par la royauté sur Transylvanie dont les deux parties ne sont pas prêts à céder. Le traité proposé par Rákóczi avec les Français a été bloqué, alors il se rendit compte que seule une déclaration d'indépendance serait acceptée et le placerait en position de négocier. En 1706, sa femme (qui avait pas vu depuis cinq ans, ainsi que leurs fils et József György) et sa sœur ont tous deux été envoyé comme ambassadeurs de la paix, mais Rákóczi a rejeté leur participation à l'empereur.

En 1707, au cours de la Grande Guerre du Nord Il était l'un des candidats au trône Pologne, soutenu en cela par Elżbieta Sieniawska.

Sur les conseils de Rákóczi et avec le soutien de Bercsényi, une autre réunion a eu lieu dans le régime Onod (Comté Borsod) A déclaré que le dépôt de Habsbourg du trône hongrois le 13 Juin 1707. Mais ni cet acte, ni les pièces de cuivre émises pour éviter l'inflation monétaire, ils ont eu le succès escompté. Luigi XIVsi Il a refusé d'entamer des négociations avec le prince Rákóczi, laissant les Hongrois sans alliés. Il est resté alliance possible avec 'Empire russe mais cela n'a pas eu lieu.

au Bataille de Trencsén (hongrois Trencsén, allemand Trentschin, en latin Trentsinium, Comitatus Trentsiniensis, actuellement Slovaquie), Le 3 Août, 1708, le cheval de Rákóczi a trébuché et il est tombé au sol perdre conscience. les forces Kuruc croyant sa mort, ils sont partis du champ de bataille. Cette défaite a été fatale aux insurgés. De nombreux dirigeants KURUC déplacés en alliance avec l'empereur, en espérant au moins à la clémence. Les forces Rákóczi étaient limitées à la zone de Munkács et Szabolcs County. János Pálffy, envoyé empereur et de l'autorité de négocier avec les rebelles, n'a pas trouvé les faveurs du prince Rákóczi qui a préféré quitter la Hongrie à un moment de Pologne 21 février 1711.

L'accord de paix

En l'absence de Rákóczi, Sándor Károlyi a été nommé commandant en chef des forces hongroises, et ils se sont précipités pour négocier un accord de paix avec le comte János Pálffy. En vertu de ces dispositions, 12.000 rebelles ont quitté leurs armes et ont uni leurs forces avec l'empereur du 1er mai, 1711 les champs juste à l'extérieur Majtény, Co. Szatmár.

la La paix de Szatmár Il ne particulièrement frappé Rákóczi. Il a assuré la clémence s'il avait prêté serment d'allégeance à l'empereur, ainsi que la liberté de voyager en Pologne s'il voulait quitter le Royaume de Hongrie. Il n'accepte pas ces conditions, mettre en doute l'honnêteté de la cour des Habsbourg, et ne reconnaissait ni la légalité du traité de paix depuis qu'il a été signé après la mort de l'empereur Joseph I., 17 avril 1711, que les faits mis une autorité Plénipotentiaire fin de János Pálffy, préférant ainsi l'exil.

exil

Un Rákóczi a été offert deux fois la Couronne polonaise, soutenue en cela par le tsar Pierre Ier de Russie. Il a cependant toujours refusé et est resté en Pologne jusqu'en 1712, en tant qu'invité de l'aristocratie locale. Il a vécu pendant un certain temps Gdansk sous le pseudonyme « Saros Count ».

Il a quitté Dantzig 16 Novembre, 1712, et de là il a voyagé en Angleterre où la reine Anne, Pressé par les Habsbourgs, il a refusé de le recevoir. Rákóczi a ensuite traversé la canal et il a voyagé à France, atterrissage en Dieppe 13 Janvier 1713. Le 27 Avril, a remis un mémorandum à Louis XIV lui rappelant son service passé en faveur de la France et lui demandant de ne pas oublier la Hongrie dans les négociations de paix d'ici la fin de Guerre de Succession d'Espagne, mais de toute façon ni Traité d'Utrecht ni de la 1713 traité Rastatt 1714 a fait une mention de la Hongrie ou Rákóczi. Aucun effort n'a été fait pour permettre à deux fils de Rákóczi, gardé toujours sous surveillance à Vienne, de retrouver leur père.

Prince Rákóczi, mais pas officiellement reconnu par la France, jouissait d'une grande faveur à la cour. Après la mort de Louis XIV 1 1715 Septembre, il a décidé d'accepter l'invitation qui lui est faite par "l'Empire ottoman (Toujours en guerre contre les Habsbourgs) de se déplacer à la cour de Constantinople. Il a quitté la France en Septembre 1717 avec un cortège de 40 personnes et a atterri à Gallipoli 10 Octobre 1717. reçu avec les honneurs, mais son désir de créer une armée chrétienne distincte pour opposer aux Habsbourgs n'a pas été sérieusement envisagée.

La maison de François II Tekirdağ

L'l'Empire ottoman il a signé la Traité de Passarowitz avec l'Autriche 21 Juillet, 1718 entre les propositions finales il y avait le refus catégorique des Turcs d'extrader les Hongrois exilés maintenant à leurs frontières. Deux ans plus tard, un envoyé autrichien, même une fois demandé ce fait, mais le sultan a refusé de se conformer à la demande d'une question d'honneur. Rákóczi et son entourage sont installés dans le village de Tekirdağ (Rodosto en hongrois), relativement éloigné de la capitale ottomane, où il a son côté une grande colonie hongroise proliféré jusqu'à Mer de Marmara. Bercsényi, le comte Simon Forgách, comte Antal Esterházy, comte Mihály Csáky, Miklós Sibrik, Zsigmond Zay, les deux Pápays et le colonel Ádám Jávorka étaient parmi ceux qui se sont installés ici, et l'écrivain Kelemen Mikes, a déclaré: « Je ne sais pas raisons particulières de quitter mon pays, sauf que j'aimais mon prince ".

Rákóczi vivait dans le village de turc Tekirdağ pendant 18 ans au cours de laquelle il a adopté un style de vie spartiate, assister à la messe tous les jours et parfois être visité par son fils, György Rákóczi. Les émeutes militaires en Pologne en 1733 éveillées ses espoirs d'être en mesure de retourner en Hongrie, mais ces mêmes idées ont été ignorées. Rákóczi avait 59 ans quand il est mort, 8 Avril, 1735.

Le testament de Rákóczi, en date du 27 Octobre, 1733 a laissé quelque chose à chaque membre de sa famille, ainsi qu'à tous ses exilés. Il est parti en deux lettres séparées à envoyer au sultan et l'ambassadeur français à Constantinople avec qui lui a demandé de ne pas oublier ses compagnons d'exil. Ses organes internes ont été enterrés dans l'église grecque orthodoxe de Rodosto, tandis que son coeur a été envoyé en France. Après avoir obtenu l'autorisation des autorités turques, a été prise par son fidèle chambellan Kelemen Mikes et a le corps du Rákóczi à Constantinople 6 juillet 1735 pour l'enterrement dans l'église jésuite de San Benedetto galata, selon sa volonté, à côté de sa mère.

Ses restes ont été transférés au 29 Octobre 1906 à la cathédrale Sainte-Elisabeth Kassa, Hongrie (Maintenant Košice, Slovaquie), Où il a été enterré à côté de sa mère et de son fils Ilona.[1]

Pour certains historiens, il est aussi appelé le père présumé Comte de Saint-Germain.

REMERCIEMENTS

Histoire des révolutions de Hongrie, la Haye, par Jean Néaulme, 1739

Buste de Rákóczi en Miskolc

statue Szeged

Rákóczi sur la facture de 500 florinsHongrie.

Aujourd'hui encore la figure de François II Rákóczi est traité comme un héros national en Hongrie, et sa mémoire est encore très vivante dans la tradition populaire.

mémoriaux

La statue équestre de François II Rákóczi avec la célèbre devise Cum Deo Pro Patria et Libertate ( « Avec Dieu pour Patria et liberté« ) Gravé sur le piédestal de marbre rouge a été érigé devant l'édifice du Parlement hongrois à Lajos Kossuth en 1937, par le sculpteur János Pásztor. Dans les années 50 du XXe siècle, les deux premiers mots, cum Deo ( « Avec Dieu »), ont été annulés pour des raisons idéologiques, et ont été restaurées en 1989.

Lorsque, après 1945, les monuments des Zsigmond Kisfaludi Strobl, la place des Héros ont été nettoyés de toutes les références aux héros des Habsbourg, la meilleure période du sculpteur, a fait une statue de Rákóczi au lieu de celle de Léopold II. Il a été érigé en 1953 avec un bas-relief sur la base qui illustre la rencontre entre Rákóczy et Tamás Esze.

Lieux et institutions

Presque chaque ville hongroise commémore la figure de Rákóczi avec le nom d'une rue ou une place qui porte son nom. Il y a 11 routes liées à Rákóczi et 3 places dans un Budapest y compris Rákóczi út ( « Rákóczi Avenue »), qui forme une liaison entre les quartiers VII et VIII.[2] La route a donc été rebaptisé 28 Octobre, 1906, lorsque les restes du prince ont été signalés en Hongrie de la Turquie et une longue procession funéraire a eu lieu le long de cette route de la gare. Rákóczi tér ( « Rákóczi Square ») dans le huitième arrondissement, il a été consacré en 1874. A Budapest, un pont au-dessus Danube Il est appelé Pont Rákóczi en son honneur.

En Hongrie, deux pays portent le nom de Rákóczi. Rákóczifalva comté Jász-Nagykun-Szolnok Elle a été fondée en 1883 sur des terres autrefois partie de la réserve de chasse du prince Rákóczi. La ville voisine de Rákócziújfalu Il est devenu un village indépendant en 1950 (avant qu'elle ne faisait partie de Rákóczifalva).

Le village de Zavadka, aujourd'hui Ukraine à l'étape où Veretski Rákóczi est arrivé en Hongrie au début du soulèvement en 1703 et où il a choisi de saluer ses partisans au moment de son exil en 1711 il a été rebaptisé Rákócziszállás en 1889. Le village voisin de Podpolóc (Pidpolozzya actuelle) où Rákóczi a passé une nuit en 1703 a été rebaptisée en cette année Vezérszállás. Après 1918, les deux villages ont repris leurs noms précédents.

Le mont Bovcar (courant Vovcharskiy Vrh dans le courant Ukraine) Il a été nommé à cet effet après le 18 Février 1711. Bovcar signifie « le prince était ici » dans la langue ruthène locale.

la Bibliothèque Borsod-Abaúj-Zemplén comté Miskolc (II. Rákóczi Ferenc Megyei Könyvtár) a été consacré à sa figure.

La maison où il a vécu pendant dix-huit ans à Tekirdağ est aujourd'hui un musée ouvert aux visiteurs.

billets

Le portrait de Rákóczi se trouve encore aujourd'hui sur les billets hongrois. Avant d'être retiré de la circulation, il était présent sur le billet de banque de 50 florins et apparaît maintenant que 500.

Le Rákóczi Mars

Le même sujet en détail: Rákóczi Mars.

Une mars patriotique bien connu entre le XVIIIe et XIXe siècles en Hongrie (inconnu compositeur) a été le Rákóczi Mars. Selon la légende, qu'il était le favori du prince, même si elle a été faite que dans les années 30 du XVIIIe siècle et il est donc probable que ce fait est dû seulement à la légende. Hector Berlioz Il a orchestré la pièce et il a également été utilisé par Franz Liszt comme base pour sa Rhapsodie hongroise no. 15. La mars Rákóczy reste un morceau populaire pour les parades militaires et les célébrations de l'Etat en Hongrie.

HONNEURS

Chevalier de l'Ordre de la Toison d'Or

NOTES

1. ^ Katalin Mária Kincses « Sans cérémonie spéciale: Le culte de Rákóczi - Apporter maison Mortal du Prince demeure » Hadtörténelmi Közlemények 2003. 1. sz. - Közlemények

2. ^ Budapest City Atlas, Szarvas-Dimap, Budapest, 2011, ISBN 978-963-03-9124-5

D'AUTRES PROJETS

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